Vraiment, c’était un jour de spectacles !
On a commencé en allant au Musée Marmottan pour voir une collection des peintures de Monet. En y entrant, on a retrouvé notre guide. Elle était aussi inspirée et enthousiaste que notre guide d’hier (au Centre Pompidou), mais pour moi, ce matin au musée était plus plaisant. Ses commentaires sur les œuvres de Monet m’ont appris beaucoup sur le style impressioniste. Parmi toutes les peintures, celles qui étaient mes préférées sont nommées Impression, Soleil levant 1872 et Les Hémérocalles. Il m’a fallu un peu du temps pour m’éloigner mentalement et visuellement de ces tableaux pour devenir consciente de la scène représentée. J’ai vu les autres étudiants qui prenaient leur propre distance aussi d’avec ces tableaux de Monet.
Je trouve que le style de Monet, qui met l’accent sur le mélange de couleurs, ressemble
un peu au pointillisme. La différence entre l’aspect des tableaux vus de près et ensuite
de loin, me fait penser à ce lien.
A Paris, je me sens forcément immergée dans des évenements uniques et tout de même spectaculaires. En entrant dans le chocolatier/patissier Ladurée, l’odeur du sucre, la scène préparée des patisseries, et l’atmosphère générale m’ont paru aussi fantastiques que la vue panoramique de la tour Monparnasse, ou la délicatesse necessaire pour faire 
un dîner à la française, ou le véritable spectacle qui était notre soirée à l’Opéra Comique 
pour voir La veuve joyeuse. En sortant de toutes ces salles variées, j’avais un sourire à la figure et le sentiment d’avoir été dans la présence de quelque chose de merveilleux et, bien sûr, de très parisien.
un dîner à la française, ou le véritable spectacle qui était notre soirée à l’Opéra Comique pour voir La veuve joyeuse. En sortant de toutes ces salles variées, j’avais un sourire à la figure et le sentiment d’avoir été dans la présence de quelque chose de merveilleux et, bien sûr, de très parisien.Je ne peux pas me permettre de finir sans décrire en plus de détail le spectacle du soir. On avait tous déjà lu le livret de cette opérette de Franz Léhar, mais on n’était pas du tout préparé pour les costumes, les acteurs comiques, et leurs brillantes façons de jouer. Tout ce qui s’est passé devant nous était forcément différent de ce qui se passerait aux Etats-Unis, surtout les personnages qui représentaient les filles de joie. On a vu un spectacle avec un véritable French can-can dans le style du Moulin Rouge. Mais ce n’était ni dégoûtant ni vulgaire. Au contraire ! C’était amusant, éléctrifiant, et surtout spectaculaire !!
le 6 janvier 2006
A la découverte des couleurs chatoyantes de Paris
