J’ai déjà fait trois visites à Paris, mais je crois qu’on peut toujours y découvrir de nouveaux aspects et on ne voit jamais exactement la même ville. Parce que le thème de ce programme cette année se concentre sur « le spectacle », je fais attention aux apparences. Peut-être les premières impressions comptent-elles le plus? Dès que nous sommes arrivés, j’ai remarqué que l’hôtel met de l’importance sur sa capacité à créer une atmosphère sympathique avec les couloirs intimes et les couleurs accueillantes.
Dans la visite du quartier avec Émilie, ces premières impressions ont été confirmées. On a apprécié la préservation du style architectural des anciennes époques quand on a vu les « boulangeries » du dix-neuvieme siècle qui ont gardé leurs façades bien que ce soient maintenant des boutiques de meubles ou de vêtements de luxe ; et la façade des bâtiments sur la Place des Vosges reste intacte malgré les changements à l’intérieur – car les rois come Henri IV ont planifié leurs hôtels avec la stipulation qu’on ne peut jamais changer les façades. Quand nous nous promenions dans le quartier, j’étais frappé par les vitrines des magasins qui sont pleines de jolis objets et vêtements. Ces détails me réconfortent ; la présentation est meilleure que celle qu’on trouve en Espagne, en Chine, et souvent aux États-Unis.
Quand nous avons au restaurant Le Marché, les plats sont apparus devant nous comme des petits cadeaux—c’est pourquoi j’avais envie de prendre des photos. En fait, le spectacle de Paris pour moi ce premier jour est une suite d’impressions très fortes : le grand miroir dans la salle de réception de notre hôtel ; les jardins de style symétrique, à la française ; et les statues en relief sur la façade de l’Hôtel Sully.