Ce matin nous avons visité le musée Jacquemart- André. C’était un hôtel particulier extravagant. Le premier propriétaire était banquier, évidemment très riche car l’hôtel a beaucoup de chefs-d’œuvre artistiques partout. J’ai trouvé intéressant que dans une salle pour recevoir les invités, les murs pouvaient disparaître au sous-sol pour créer plus d’espace pour les gens. J’ai essayé d’imaginer l’hôtel avec mille personnes dedans pendant un bal splendide.
L’hôtel n’a pas eu seulement la technologie moderne de l’époque, mais aussi l’art moderne de son époque. Il y avait les peintures des femmes nues qui n’étaient pas généralement acceptables, les natures mortes qui n’étaient pas bien aimées, et aussi les « capriccios, » les tableaux qui ont mélangé la réalité physique et l’imagination de créateur. J’ai bien aimé les capriccios car ils ressemblaient à des photos mais la scène représentée ne se trouve nulle part.
Dans le musée il y avait aussi une horloge très rare et très bizarre. C’était une horloge rectangulaire dont tous les numéros des heures étaient écrits en ligne horizontale et dont une flèche se continuait sur la ligne horizontale heure par heure. Cette horloge et tout ce que j’ai vu au musée m’ont montré qu’à l’époque de l’hôtel particulier, la tradition et la créativité étaient toutes les deux importantes. C’était une époque ou il y avait un mélange de moderne et d’antiquité.